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64 ans, c’est non !

La réforme des retraites, c’est non !
#Pas1JourDePlus
Avant qu’il ne soit trop tard…
Nous, salariées du Service à la Personne tenons la barre pour aider le pays à tenir debout.
Nous, salariées du Service à la Personne, sommes à la fois essentielles mais INVISIBILISEES.
87 % des salariées du service à la personne sont des femmes.
Nous nous sentons seules face à ces inégalités, alors que nous sommes si nombreuses. Notre engagement collectif a déjà porté ses fruits , continuons à lutter ensemble pour que nos droits avancent.
Salaires de misère, temps partiel subi, carrières hachées, discriminations, précarité de l’emploi… les accidents du travail explosent, les maladies professionnelles aussi…
Ensemble, mobilisons-nous pour ENFIN atteindre l’égalité professionnelle et la reconnaissance de la pénibilité de nos métiers…
Avant qu’il ne soit trop tard…
Signons la pétition !

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24 Heures Sans Aide A Domicile

Plus de 700 000 salarié.e.s exercent dans le secteur du soin, de l’accompagnement ou maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie.

Un salariat à prédominance féminine composé de près de 97 % de femmes, des contrats très souvent à temps partiel subi et précaire dont on parle peu.

Pourtant, la crise sanitaire a montré combien ces salarié.e.s de l’ombre étaient indispensables, mettant en exergue l’importance de leur travail au service de l’intérêt général.

Malgré des conditions de travail et des salaires déplorables, elles-ils ont été présent.e.s auprès des personnes âgées, handicapées, bien souvent seul.e.s à leur domicile. Mais, faute de reconnaissance et face au mépris des pouvoirs publics, aujourd’hui, les démissions se multiplient.

Epuisement professionnel aggravé par l’obligation vaccinale, de nombreux emplois restent vacants alors que les besoins augmentent.

Les aides publiques coulent à flot en direction de certains qui abusent de paradis fiscaux, 37 entreprises du CAC 40 affichent ce 1er trimestre un bénéfice record d’environ 57 Milliards d’euros, pendant que les salarié.e.s du secteur doivent se contenter de cache misère pour les un.es et d’absolument rien pour un grand nombre !